vient lire

Olivia arriva dans la bibliothèque. Elle adorait les livres, elle adorait lire, et en plus, c'était très utile car ayant une bonne mémoir, elle se souvenait presque toujours de ce qu'elle lisait. Elle entra donc dans la bilibothèque et regarda toute les étagères qui contenait de nombreux livres. Elle s'approcha donc d'une étagère puis pris un livre. C'était un livre d'Emile Zola, Thérèse Raquin. Avant d'ouvrir le livre, qu'elle n'avait jamais lu, elle se souvent qu'Emile Zola était le chef de file du naturalisme et de nombreuse autres choses comme ça. Puis alla s'assoir et commença à lire. Elle lu d'abord la préfare et ensuite commença le livre. Qui débutait comme ça:

Citation :

I


Au bout de la rue Guénégaud, lorsqu'on vient des quais, on trouve le passage du Pont-Neuf, une sorte de corridor étroit et sombre qui va de la rue Mazarine à la rue de Seine. Ce passage a trente pas de long et deux de large, au plus; il est pavé de dalles jaunâtres, usées, descellées, suant toujours une humidité âcre; le vitrage qui le couvre, coupé à angle droit, est noir de crasse.
Par les beaux jours d'été, quand un lourd soleil brûle les rues, une clarté blanchâtre tome des vitres sales et traîne misérablement dans le passage. Par les vilains jours d'hiver, par les matinées de brouillard, les vitres ne jettent que de la nuit sur les dalles gluantes, de la nuit salie et ignoble.
A gauche se creusent des boutiques obscures basses, écrasées, laissant échapper des souffles froids de caveau. Il y a là des bouquinistes, des marchands de jouets d'endant, des cartonniers, dont les étalages gris de poussière dorment vaguement dans l'ombre; les vitrines, faites de petits carreaux, moirent étrangement les marchandises de reflets verdâtres; au-delà, derrière les étalages, les boutiques pleines de ténèbres sont autant de trous

Elle tourna la page.

Citation :

lugubres dans lesquels s'agitent des formes bizarres...

Puis elle continua sa lecture, déjà plongée dedant.


(hj: vi c'est vraiment dans le livre, puisque j'ai copié du mien^^)

(libre)

Olivia faillit faire un arrêt cardiaque lorsqu'elle vit une jeune fille sortir du mur, trempée. Elle en était à la douzième pages lorsqu'elle la vie. Elle du respirer un bon coup et se dire: Je suis dans une école de mutant... c'est normale. Puis la jeune fille lui dit bonjour. Alors, Olivia posa Thérèse Raquin sur ses genoux et lui répondit en souriant. Bien qu'elle soit un peu nerveuse, elle n'avait jamais vu cette jeune fille, mais c'était logique car elle était ici depuis peu, mais elle se demandait toujours, si les personnes étaient gentilles. C'était débile, car elle avait juste à les connaître un peu pour le savoir, mais ça, elle se le disait toujours après.

"Bonjour, euh... tu ne vas pas prendre froid?"

C'était une question, bête et ridicule, mais elle ne savait pas quoi dire d'autre, puis elle se reprit. Elle se leva et dit.

"Je m'appelle Olivia, Olivia Tomeo, je suis nouvelle ici, c'est surement pour ça que je ne te connais pas. Excuse moi alors de te demander ton nom."

Elle espérait être polie en disant ça, elle ne savait pas trop, mais elle verrait bien suivant la réaction de la personne qui avait traversé le mur et qui en plus était trempée de la tête au coup.

Elle écouta tranquillement, debout la réponse de Kitty puis sa présentation.

"Ravie de faire ta connaissance alors, et oui, c'est vrai qu'on s'adapte très bien ici, c'est tellement beau, calme, interessant... Enfin, pour le moment, c'est ce que je dis, fauda voir d'ici quelque temps en fait."

*Trois ans...*

Elle se dit que trois ans ça devait quand même faire rudement long, trois an... Sans voir sa famille. Mais en y repensant bien, ça faisait plus que trois ans qu'Olivia était en internat, tout ça car elle était surdouée, elle se disait souvent que ses parents ne l'aimait pas et elle avait jamais réussi à se prouver le contraire... Surtout depuis qu'elle était arrivée ici, ses parents avaient eu peur d'elle, alors qu'elle n'avait rien fait de mal, elle n'avait rien demané... Mais ils avaient peur. Ils l'avaient donc envoyé ici, elle se sentait légerement délaissée, mais comme elle n'avait pas, jamais son mot à dire, rien que pour le prouver, on ne lui avait meme pas dit le nom du lycée, institut, elle avait du l'apprendre par un autre nouveau... Elle n'en revenait pas mais bon. Elle commençait à en avoir légerment l'habitude, donc elle ne disait rien, mais le jour ou elle s'énerverait...

Olivia écouta tranquillement ce que Kitty disait, elle semblait curieuse en fait, mais semblait aimer la vie.

"En fait je suis capable d'envoyer mon image si tu veux à plusieurs mètres de moi, mais je controle rien, sinon j'arrive aussi, enfin, je suis scencée y arriver, mais c'est pas le cas du tout, envoyer l'image des autres. Mais je n'arrive à le faire que quand je suis énervée ou alors que j'ai peur. Mais bon... Et toi, tu peux donc traverser les murs, ça doit être rudement pratique ça non?"

Elle réfléchit en se disant que avec ce pouvoir on pouvait aller partout où on voulait, sans avoir besoin de clé, de permission ou autre, ce qui était très pratique. Mais en réfléchissant bien, si on traverse un mur et qu'il y a du vide après on tombait à tout les coups, donc, ce pouvoir était bien, mais toujours dangereux. Donc c'était, comme surement beaucoup d'autre presonne, un pouvoir à risque. Elle ne parla pas des doutes à Kitty, mais elle y pensa un p'tit moment avant de reprendre la parole.

"ça fait longtemps que tu les as ces pouvoirs? Enfin, je pense que ça doit faire environ trois ans, ou plus non? Enfin, je déduit ça, grâce à ce que tu m'as dit, c'est donc peut-être faux, mais bon."

Olivia était une personne qui pensait toujours aux petits détailes qu'on croyait qu'ils n'avaient pas d'importance. C'est ça qui la rendait aussi inteligente.

"En fait je les ai découvert il y a un peu plus d'un mois, pour être précise, il y a trente-sept jours. Donc ça ne fait pas longtemps du tout. "

Après avoir dit ça, Olivia ne savait vraiment plus quoi dire, ni quoi faire. Elle ne savait pas de quoi parler avec cette personne, certe très gentille, mais qu'elle ne connaissait pas ou alors très très peu. En fait, elle ne la connaissait pas, comment dire qu'on pouvait connaitre, même très peu une personne en ne lui ayant parlé qu'une fois et ne l'avait vu que dix minutes approximativement? C'était impossible.

Puis elle trouva des questions à lui poser.

"Et les personnes ici, ils sont gentils? Je veux dire, ils sont comment? Ils ont l'air très sympa de te mouiller en tout cas, si c'est des personnes qui l'ont fait, ça m'étonnerait que tu te soies mouillée comme ça toi même. Ou je me trompe? Et ils ont tous des pouvoirs comme les tients... Un peu, surprenant ou il y en a qui sont moins extrème? Et il n'y a que des mutants ici? Il n'y a pas des êtres humains normaux?"

Elle écouta les réponses diverses que Kitty lui avait dit, elle semblait avoir eu de la peine à se souvenir de tout. Olivia se dit que la prochaine fois elle irait moins vite, elle ne se rendait souvent pas compte que les autres personnes n'avaient pas sa faculté de mémoir... Elle n'était pas surdouée pour rien quand même. Puis à la demande de son âge elle lui dit:

"J'ai eu quinze ans le dix-neuf mars, et toi?"

Elle ne savait de nouveau plus quoi dire pour combler le blanc qui allait surement apparaître après la réponse de la fille qui traversait les murs qui ne semblait pas avoir pris froid soit dit en passant.

*Franchement, j'ai beau être inteligente, je suis vraiment nulle pour les discutions...*

Elle fit alors travailler son cerveau jusqu'à ce qu'elle trouve une question qui pouvait être plutôt interessante.

"Et au fait, est-ce que il y a des cours ici, je veux dire, bien sûr, c'est une école et s'il n'y aurait pas de cours, ce ne serait pas une école, donc ma question est mal pausée. Est-ce que maintenant c'est les vacances ou les cours ont déjà repris?"

Elle écouta la réponse de Kitty Pryde sur les cours. Elle trouvait ça dommage, elle aimait bien suivre les cours, elle adorait apprendre. Mais bon, elle espérait qu'ils recommenceraient vite.

Puis elle écouta la question de la jeune fille et réfléchi avant de répondre.

"C'est assez compliqué, ma mère est Suisse mais mon père provient de Nouvelle-Zelande. J'ai donc grandit en Suisse mais j'allais souvent en Nouvelle-Zelande, durant les vacances, j'ai donc vécu en Suisse durant dix ans, qui du reste étaient super, mais ensuite, pour une raison de boulot, ma mère est journaliste et mon père est conseiler pour une grande entreprise, donc ils bougent souvent, ont décidé d'aller à New York, c'est donc là que j'ai vécu et que je vis depuis cinq ans, puis ensuite, à la découverte de mes pouvoirs je suis venu ici. Mais sache quand même, que je n'étais jamais dans une maison à moi, ou à mes parents, car si tu veux, j'étais toujours en internat, sauf les vacances et certains week-end, j'étais dans ce genre d'école parce que, sans me vanter, je suis surdouée, mais je me suis rendue compte plus tard, que c'était aussi pour arrenger mes parents, qui je crois bien, trouve dur d'élever une enfant, normale, mais en plus si cette enfant, à réponse à de nombreuse choses qu'ils ne connaissent pas, c'est encore plus compliquée. Donc j'étais dans des écoles adapté à mon niveau scolaire. "

Elle la regarda après avoir dit ça et lui retourna sa question.

"Et toi, tu habitais où avant?"

"Je n'y suis jamais allé, mais j'ai déjà entendu parlé je crois bien. Et, si ce n'est pas trop indiscret, comme pouvais-tu être surdouée? Je veux dire, tu peux être surdouée, mais à ma connaissance, tu le reste toujours non? Tu ne peux pas perdre ça du jour au lent demain ce ne serait pas logique du tout..."

Elle réfléchit à ce qu'elle venait de dire et ça lui semblait juste, mais il y avait toujours l'exception qui confirmait la règle non? Mais ça lui semblait bizarre en tout cas.

Puis elle regarda les étagères remplies de livres, elle se sentait bien là, elle savait que les livres, où qu'elle se trouve étaient toujours les même, toujours les mêmes caractères, les même mots, elle se sentait bien là, pas trop perdue, même s'ils étaient dans d'autres langues, ils voulaient toujours dire la même chose, dans ce cas là, on ne pouvait jamais être perdue..

Puis elle attendit d'avoir la réponse de Kitty Pryde, la surdouée. En tout cas, elle était ravie d'avoir rencontré une autre personne comme elle, avait une inteligence plus grande que la moyenne.

Kitty fut étonné d'entendre qu'Olivia connaissait Deerfield! Une dizaine de maisons, un petit commerce et des champs! La région n'était pas très attractive ...Puis écoutant Olivia parler, Kitty se rendit compte de son erreur. Son sourire s'élargit et elle dit:

"Oui, techniquement, je suis toujours surdouée. Mais ça ne tourne pas bien rond là dedans ..."

Kitty pointait du doigt sa tête. Elle haussa les sourcils et sourit à nouveau. Puis elle se contempla. Elle commençait doucement à sécher. Son débardeur rose était quasiment sec,à part dans le dos, là où ses cheveux avaient gouttés. Par contre la flaque à ses pieds ne cessait d'augmenter. Puis elle reporta son attention sur Olivia, attendant que la jeune fmme reprenne la parole.

Elle lui sourit gentillement, elle comprenait très bien que parfois tout soit en désordre dans les têtes, seulement, pour les personnes avec un potentiel plus élevé, c'était toujours plus long pour tout remettre dans le bonne ordre. Elle avait eu ça un temps, et dans ces cas là, elle s'énervait très vite, était toujours de mauvaise humeur, bref, elle était en d'autres termes plus simple, détestable, mais ça allait mieux maintenant.

"Je comprend oui, j'ai la même chose quelque fois."

Puis elle contempla un moment la fenêtre qui donnait lieu à un joli jardin, bien calme, elle aimait déjà bien cet endroit. Elle ne savait plus trop quoi dire à Kitty Pryde, elle n'avait jamais été une grande bavarde avec les personnes qu'elle connaissait peu. Elle la regarda et dit:

"Je ne sais plus quoi te dire là, ni quoi te demander... Tu as bientôt fini de sécher c'est bien, j'espère que tu n'auras pas pris froid, ce ne serais pas très chouette..."

"Bien sûr, il n'y a pas de problème parce que sinon tu vas vraiment tomber malade, et tu devras rester couchée, et ça n'a pas vraiment l'air d'être ton fort, et moi, je vais continuer ma lecture..."

Elle enleva donc le livre de la chaise, enfin, elle le prit dans ses mains, puis ensuite, elle s'assit et le rouvrit à la page à laquelle elle l'avait laissé ouvert. Elle aimait bien ce livre, même s'il commençait bêtement, on lui en avait souvent parler, comme quoi il était génial, bien qu'elle ne le califirait pas de ce nom là, elle savait que les bouquins d'Emile Zola en général étaient géniaux, mais ce n'étaient pas ses préférer non plus. Elle vit alors Kitty quitter la bilibothèque elle ne semblait plus être mouillée, mais tout ses habits devaient lui coller à la peau et devaient la gêner énormément. Elle était ravie finalement d'avoir fait la connaissance avec cette fille au caractère bien trempé, comme ses habits du reste^^, elle était gentille et sincère et semblait courageuse. Mais tout de même très active, ça on ne pouvait l'ignorer. Elles allaient surement se voir souvent. Car l'école avait surement beau être grande, ça ne faisait pas tout, surtout si elle pouvait traverser les murs à sa guise.

Elle avait bien vu que Kitty faisait des petites gouilles là où elle passait, mais ne s'était pas plus inquiétée que ça, elle en était à la cinquante-cinqième page à :

Citation :

Thérèse jouait avec une indifférence qui irritait Camille. Elle prenait sur elle François, le gros chat tigré que Mme raquin avait apporté de Vernon, elle le caressait d'une main, tandis qu'elle posait les dominos de l'autre. Les soirées du jeudi étaient un supplice pour elle; souvent elle se plaignait d'un malaise, d'une forte migraine, afin de ne pas jouer, de rester là oisive, à moitié endormie.

Lorsque kitty lui dit re-bonjour, elle faillit mourir d'une crise cardiaque tellement elle ne s'y attendait pas, c'est alors que juste un peu plus loin, entre Kitty et ele, on pu voir, durant quelques petites secondes, un double d'Olivia vêtue exactement pareil, on aurait presque pu dire que c'était sa jumelle tellement elles étaient semblable, en fait, elles étaient semblable, c'était ça le pouvoir d'Olivia, qui disparu cependant très vite. Celà était du à l'effet de surprise provoqué par Kitty. Elle la regarda et lui dit.

"Tu veux me faire mourir, c'est ça?? J'ai faillit avoir une crise cardiaque mais bon..."

Elle disait ça bien sûr gentimment, car ça ne la dérangeait pas du tout, ça lui arrivait même souvent car elle sursautait beaucoup lorsqu'on la surpennait où qu'on lui faisait peur. Puis elle trouva une question

"Au fait, est-ce qu'il y a des écuries ici? enfin, juste des box pour des chevaux ou bien pas?"

Elle demandait ça bien sûr pour son Django qui avait du rester sans elle jusqu'à ce qu'elle trouve un arengement.

Elle rigola un petit peu avec Kitty lorsque celle ci pouffait de rire, puis elle écouta la réponse à sa question pour pouvoir être plus près de son magnifique PRE (=pure race espagnol) qu'elle aimait plus que tout. Elle savait bien qu'à New York il y avait des écuries, car c'est là même qu'il y était, dans une écurie portant le nom de: Le Pinçon Vert. Il y était bien, mais elle ne pouvait pas aller le voir souvent et elle savait que si elle ne se débrouillait pas autrement elle devrait le vendre, ce qu'elle ne voulait pas du tout. Donc elle devait aller le week-end ou bien pendant ces moments de temps libres, donc elle ne pouvait pas aller souvent, sauf en ce moment vu que les cours n'avaient, pensa-t-elle, pas commencer, donc pour le moment ça ira. Et au pire, elle devrait trouver une demi-pension, mais elle ne le voulait pas non plus, elle était en face d'un dilème extremement grand, mais avec son cerveau elle ne savait pas comment faire...

"Il n'y en a donc pas ici,c'est domage, oui, à New-York je sais qu'il y en a puisque mon cheval y est, Il est au Pinçon Vert en fait même. Mais j'aimerais qu'il soit plus près d'ici, car c'est embetant de toujours devoir aller là-bas, alors que s'il serait ici, ce serait plus pratique pour moi. Et pour lui aussi du reste. Est-ce que tu montes à cheval?"

Elle esseya vaguement de sourir lorsqu'elle lui dit qu'elle ne pouvait pas l'aider, elle aurait tellement voulu l'avoir avec elle, car il lui manquait terriblement, c'était le seul lien avec sa vie d'avant, et même, car elle l'aimait c'est tout. Puis lorsqu'elle lui racontait ses désespoirs avec un cheval elle ne pu s'empecher de sourir. Elle aussi s'était prise des bonne gamelle avec Django.

"Tu sais, tu n'es pas la seule, avec Django je me suis fait déjà deux commossions, ainsi que des luxactions, des os déplacé, des tromatismes, des membres cassés. Lui, il m'a tout fait au moins, mais c'était au début, maintenant ça va mieux, enfin je dis ça, mais c'est comme si je disais rien... ça dépend de notre humeur aux deux, et il regarde s'il veut me vider, mais il y arrive de moins en moins. Mais maintenant on est déjà sorti en concour ça va mieux, c'est aussi pour pas que d'autre puissent le monter que j'aimerais qu'il soit avec moi, c'est pas que je suis égoise, enfin, peut-être un peu quand c'est Django, mais si c'est pour me le casser... Non merci"